Les scientifiques ont découvert que la façon dont vous pensez peut même changer votre ADN, ce qui vous rend plus altruiste

Avoir de bonnes intentions peut être une bonne chose, mais saviez-vous qu’il existe en fait des preuves scientifiques pour appuyer les avantages d’agir positivement ? C’est vrai ! Cette recherche est basée sur le concept deneuroplasticité, c’est-à-dire que les gens deviennent plus aimants en ayant des pensées altruistes. Mais revenons un peu en arrière et voyons comment la communauté scientifique en est arrivée à cette découverte.                                                                                                                                Les scientifiques avaient l’habitude de dire que le cerveau humain se développait jusqu’à l’âge adulte, moment où il commençait à rétrécir. Cela soutenait l’idée qu’une fois adulte, votre personnalité serait figée. Mais les deux idées sont en fait fausses ! Voilà pourquoi.                                                                                                                                         

 En 1962, le chercheur Joseph Altman du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a découvert que les neurones sont constamment produits à nouveau tout au long de la vie. Cette prise de conscience est à la base de la neuroplasticité.                

 Lorsque vous effectuez une certaine action, la partie de votre cerveau connectée à l’action “devient plus forte”, c’est-à-dire qu’elle produit plus de neurones. Ainsi, lorsque vous avez plus de pensées altruistes, la zone de votre cerveau associée à faire le bien développe plus de neurones et vous devenez plus altruistes !                                   Pourtant, il y a un autre domaine d’étude qui est devenu crucial pour expliquer la capacité d’une personne à cultiver l’altruisme. Ça s’appelle l’épigénétique.                                       

 L’épigénétique examine comment des facteurs externes peuvent essentiellement affecter le fonctionnement des gènes individuels d’une personne. C’est-à-dire que, selon votre environnement et même votre état mental, les informations stockées sur un gène individuel seront soit ” activées “, soit ” désactivées “, ce qui déterminera quels traits sont exprimés.Mais quel est le rapport avec l’altruisme ?                                                                               

 L’idée est que si vous agissez de façon plus altruiste, vos actions peuvent potentiellement influencer l’expression de vos gènes, en les modifiant pour vous rendre essentiellement plus altruiste.                                                                                       Par exemple, même si des jumeaux identiques partagent un ensemble de gènes identiques, la personnalité de chaque jumeau peut être totalement différente. Un jumeau peut être un criminel endurci, tandis que l’autre est un médecin altruiste. La seule explication possible à de telles différences se trouve en épigénétique.

Mayele

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