Se choisir soi-même, c’est renoncer à l’intermédiaire et tirer le meilleur parti de ses ventes.

C’est bien beau d’avoir un bon état d’esprit et de fonder une base solide et un corps sain. Mais comment en vivre ? Comment réussir financièrement à l’ère de « se choisir soi-même » ?

Prenons l’exemple de Bryan Johnson, l’entrepreneur à l’origine de la carte de crédit Braintree, un service de plusieurs millions de dollars.

Johnson travaillait auparavant pour une entreprise de traitement de cartes de crédit, visitant des restaurants et des entreprises pour leur demander de se tourner vers les services de son entreprise.

Il détestait ce travail, surtout le fait qu’il travaillait pour quelqu’un d’autre. Johnson a donc décidé d’abandonner ce travail, faisant essentiellement le même travail, mais travaillant pour sa propre entreprise.

Que pouvons-nous apprendre de cela ?

Tout d’abord, à l’époque de « se choisir soi-même », travailler pour quelqu’un d’autre n’est pas amusant. Deuxièmement, vous avez une occasion parfaite d’éliminer les intermédiaires : ne travaillez pas pour une entreprise qui fournit un certain service ou produit, mais fournissez-le vous-même. S’il y a une demande pour ce que vous offrez, vous avez de bonnes chances de faire de votre entreprise un succès.

Le succès de Johnson dépendait fortement de sa capacité à se vendre. Ce qui est l’un des facteurs les plus importants dans cette nouvelle ère de « se choisir soi-même ».

L’une des meilleures façons de se vendre est de toujours avoir une vue d’ensemble de la situation. Il ne s’agit pas d’obtenir le meilleur prix pour chaque vente (que vous vendez un produit ou l’ensemble de votre entreprise), mais d’en tirer la meilleure valeur.

Par exemple, l’auteur a travaillé à la création des sites Web pour New Line Cinema pour seulement 1 000 $ par film, soit 200 fois moins que le prix habituel.

Pourquoi ?

Parce qu’il savait qu’en travaillant pour une entreprise aussi illustre, les meilleurs designers du monde viendraient en masse rejoindre son entreprise. Bien qu’il ne s’agisse pas de la meilleure vente négociée, l’entreprise de l’auteur en a tiré beaucoup de valeur.

Mayele

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